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Publication à 16h30 :

L'Abondance de l'Information Financière. Commentaire de Grégoire FAVET @BFM Business avec @IG France

Interview avec Grégoire FAVET, Journaliste Économique chez BFM Business réalisée le 16 juin 2020 dans les bureaux d'IG France.


C'est le thème de l'abondance de l'information financière à l'heure d'internet, de la data et des réseaux sociaux qui est ici abordé.


Présentation de Grégoire FAVET :

Journaliste économique, Grégoire débute sa carrière à Radio France (2002) avant d’intégrer la rédaction de BFM Business en 2005. Observateur passionné des marchés financiers, il anime l’émission Intégrale Bourse (15h-18h 5/7) depuis 2010. Né à Lyon en 1979, il est diplômé de GEM (Grenoble Ecole de Management) en 2002.


Vidéo réalisée en partenariat avec IG.

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Surinformation : ne laissez pas les données quotidiennes bouleverser vos plans

Véronique Riches-Flores, économiste indépendante, Fondatrice et Présidente de RichesFlores Research - Global Macro & Thematic Independent Research depuis 2012.

Économiste, V. Riches-Flores dirige la société de Recherche économique indépendante RICHESFLORES RESEARCH depuis 2012, après une expérience professionnelle dans le milieu académique, à Observatoire Français des Conjonctures Économiques, et dans la Banque d’Investissement, en tant que chef économiste chez SG CIB -Société Générale Corporate & Investment Banking- de 1994 à 2012.

Véronique Riches-Flores est spécialiste de l’économie mondiale et des marchés de capitaux et réalise des diagnostics et prévisions. Son analyse de l'environnement économique et financier international s'assoit sur une double approche à la fois conjoncturelle et structurelle de l'économie mondiale permettant d'avoir un produit spécifiquement adapté aux besoins des professionnels de la gestion d’actifs.

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"Je me sers de ces données, de cette multiplication des données, comme des outils additionnels en essayant d'échapper (c'est pas facile) d'échapper à cette tentation de se laisser influencer et d'avoir des vues qui changent en permanence. Non, il faut vraiment consolider ses vues pour analyser y compris le très court terme, voir l'intraday, voir la décision de la banque centrale demain et cetera... En ayant toujours ce regard plus intercyclique, de long terme et global parce que nous sommes dans une économie globale et qu'aujourd'hui tout se fait / tout se joue sur le front de la confrontation des tendances de chaque région l'une par rapport à l'autre."